De nombreux accusés de l’affaire Mazan s’effondrent en pleurs à la barre. Parce qu’ils regrettent leurs actes ? Non : parce qu’ils trouvent que leur vie est devenue difficile depuis qu’ils sont accusés de vi0l.
Comment expliquer que leur détresse soit accueillie avec empathie par leurs épouses, leurs amis et même certains magistrats ?
On s’est dit que c’était ptêt le moment de publier cet extrait de notre BD – initialement inspiré par un certain Monsieur Daval, qui avait passé son temps à pleurer à la télévision après avoir assassiné sa femme.